Les Epigones d'Izaca
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 petite histoire de Marly

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MessageSujet: petite histoire de Marly   petite histoire de Marly EmptyJeu 22 Nov 2007 - 11:05

Marlysa s'était rendue assez tôt à l'hotel des ventes afin d'y trouver ...mmmhh Qu'en savait-elle encore? Un objet attirant?....une armure adéquate??.... ou tout simplement un peu de lecture?
Son regard fut attiré par un vieux livre à la reliure dorée.. Elle l'acheta pour un prix dérisoire.. Elle appela sa monture et chevaucha vers le lieu secret où elle aimait se reposer à l'abri des regards.. Une fois mise à l'aise et non sans avoir effectué quelques brasses dans cette eau si limpide toujours si apaisante, elle s'allongea afin que les doux rayons du soleil sèchent sa peau. Elle entreprit alors la lecture de l'ouvrage qu'elle venait d'acquérir.

Chaque histoire a un commencement, moment souvent merveilleux, parfois douloureux, mais toujours excitant.
Une jeune fille répondant au nom d'Arcanie vivait avec sa famille dans une toute petite masure à la limite d’un village de pécheurs. Les jours s’écoulaient les uns après les autres sans que rien ne viennent les troubler. Les rumeurs lointaines parfois faisaient entendre des histoires de combats, luttes fratricides entre de divers Clans dans l’intérieur des Terres. Mais dans ce petit village, cela n’avait guère d’importance, cela se passait si loin d’eux, car jamais les affres et les tourments de ces combats ne s’étaient tant soit peu approchés d’eux.

Cependant, comme toutes chose, vint le temps ou tout prend fin. Destin perfide qui corrompt les instants de grâce et de paix, les transformants en moment de Chaos et d’Ignominie.


Un jour comme tant d'autre, un lieu comme beaucoup.

La jeune fille ne parvenait pas a trouver le repos, la chaleur de la journée n’était pas dissipé. S’habillant prestement, elle enfila sa jupe et une tunique échancrée puis décida d’aller faire un tour dans les bois environnant. Sortant discrètement, elle pris près de la porte sa courte dague.

Les arbres apportaient la fraîcheur qui lui manquait dans sa chambre. La lune couverte d’un fin voile de brume dispensait une lumière ténue mais suffisante pour lui permettre de se déplacer sans risque. Comme elle de nombreux animaux n’ayant pas pu profiter de la journée sortaient pendant la nuit. Une multitude de bruits l’environnait, le petit cours d’eau proche, faisait entendre son doux murmure cristallin.

Marchant doucement dans le sous bois, elle veillait à faire le moins de bruit possible, cherchant à se fondre parmi les arbres, surprenant parfois ici et là quelques animaux trop confiants, ressentant une exaltation lors de ses rencontres fortuites.

La nuit s’avançait lentement, paisiblement, la jeune fille ne se lassait pas de marcher dans ce bois, s’avançant toujours plus loin, toujours plus profondément. Au bout de quelques heures de marche, elle parvint sur une petite colline surplombant légèrement la plaine et le bois. D’ici elle pouvait admirer l’ensemble de son monde, voir la vie paisiblement suivre son cours. Laissant ses pensées s’envoler, elle voyait tout le bonheur que les Dieux dans leur grande clémence avaient dispensés à son village. Qui donc en ces lieux songerait au malheur, qui donc en cet instant désirerait l’abandonner ?

La nuit semblait s’étirer sans fin, et pourtant loin vers l’Est, de timides lueurs voulaient percer celle-ci. L’aube luttait pour prendre possession à son tour du ciel, le moment du changement arrivait. Quelques brumes commençaient elles aussi à sortir des bois, recouvrant majestueusement d’un fin voile la plaine, étendant leurs voluptés afin de déposer la douce rosée sur la végétation.

Regardant vers l’Est, elle admirait le combat immémorial que ce livrait la nuit et le Jour. La Terre et le ciel semblaient se fondre dans un chatoiement de couleurs rouges orangés. De minces raies de lumière étendait leurs doigts, perçant ici et là un peu plus la Nuit. Les brumes éparses s’étiolaient les unes après les autres, ne laissant de leur passage que la rosée. Un léger vent d’Ouest éclaircissait le ciel, dépouillant celui-ci de son voile de nuit.

Regardant ici et là, elle remarquant un banc de brume qui tardait à se dissiper. Celui ci suivait la combe entre les collines, se faufilant d’arbre en arbre tel un serpent. Il avançait régulièrement, laissant derrière lui un panache de givre sur la végétation. La brume semblait continuer à avancer malgré l’aube naissante, mais ce qui était intriguant, c’était qu’elle avance en défiant la brise.

La jeune fille piquée de curiosité se mis à descendre la pente vers la combe, prenant soin de na pas faire le moindre bruit. Quel étrange brume pouvait bien avancer comme cela ? De nature aventureuse, elle aimait aller en des lieux souvent risqués pour le simple plaisir de voir certaines choses qu’elle serait seule a admirer. Prenant son temps, avançant lentement parmi les buissons, elle trouve un petit surplomb en aval de la combe. S’installant avec le plus grand soin, elle guettait l’arrivée de cette brume.

Un courant d’air froid commençait à se faire sentir, écoutant avec attention, elle remarqua que plus un bruit ne se faisait entendre aux environs, les animaux étaient rentrés dans leurs terriers, les oiseaux s’étaient posés sur les branches comme frappés de mutismes. Même le léger bruissement de l’eau si proche semblait étouffé, presque inexistant, comme effacé par cette étrange brume.

Les premières pointes de brumes faisaient leur apparition au détour du sentier, un froid mordant piquait la peau de la jeune fille. Elle regardait celle-ci s’avancer lentement, inexorablement sur le sentier. Comme si une brume avait à se soucier d’un quelconque sentier dans une combe pour se mouvoir ! L’air autour d’elle se fit plus sec, plus cassant, les premiers panaches blanc passaient juste devant elle, deux trois mètres en contre bas de sa cache.

.................

Partie 2 :

Un sentiment de malaise s’insinuait en elle, sourde sensation lui emprisonnant les poumons, étrange pressentiment lui nouant l’estomac. Cette brume semblait vivante, imperceptiblement, on ressentait une présence menaçante qui vous environnait. Un léger souffle emplit de toute la tristesse du monde ouvrait le chemin de cette brume.

Peu à peu, de vagues silhouettes s’entre apercevait au milieu des voluptés blanches. Une étrange compagnie se mouvait dans le plus grand des silences. Pas un son ne parvenait à ses oreilles, pas un souffle ne signalait leur déplacement. La brume les précédait, créant une barrière opaque entre eux et le monde normal.

Des créatures scintillantes progressaient dans cette combe. Les pâles rayons du soleil matinal n’avait pas encore percés ce vallon, cependant, une froide lumière blanche les environnait. Telles des êtres de contes, ils semblaient avoir une armure de glace brillant de milles scintillements, leurs armes étaient auréolées d’une froide et mortelle lueur blafarde.

Comme pétrifiée, elle ne pouvait s’empêcher de regarder cette singulière troupe se déplacer. Ils avançaient les uns à a la suite des autres, sans heurts, sans faire le moindre mouvement inutile. Leurs pas se posaient dans les empreintes de celui qui le précédait. Pas un son, pas un souffle, pas un murmure, image surréaliste d’une beauté parfaite et pourtant au combien inquiétante.

Les armures semblaient taillées dans la glace et les épées paraissaient être d’un cristal pur. Jamais encore une telle apparition n’était parvenue dans les histoires colportées par les différents marchands de passage. Cette impression de surréalisme rajouté à cette froide et mystérieuse brume les entourant, provoquait une impression de peur irraisonnée, faisant parcourir son dos de longs frissons.

Chacune des armures semblait ornementée de motifs différents, mais ne ressemblant en rien à ce qu’elle connaissait. Les gravures sur les Heaumes semblaient faire appel à des souvenirs si anciens qu’ils en étaient effrayant. Les étranges blasons agrémentant leurs plastrons paraissaient à la fois beaux et répugnant. Jamais de tels motifs n’avaient provoqués tels sentiments. Souvenirs d’un Passé à la fois sombre et mystérieux.

Leurs mouvements étaient si parfais, qu’il s’en ressentait une vision de beauté et de grâce implacable. L’étrange compagnie allait vers un destin, un lieu, un but connu d’elle seule. Et la voir ainsi avancer, ne pouvait que provoquer une seule constatation dans l’esprit de la jeune fille : Où qu’ils aillent, rien ne pourrait se mettre en travers de leur chemin.

Serrant ses bras contre son corps, elle se retenait de trembler sous l’emprise de se froid qui lui glaçait la moelle des os. Transit, elle regardait se long défilé, tels des fantômes s’exerçant à une quelconque procession. Jamais encore un sentiment pareil ne l’avait paralysée. Petit à petit, les armures finirent leur défilé devant ses eux, disparaissant les unes après les autres de sa vue par les caprices d’un détour du chemin. Ne semblait flotter derrière elles qu’un vague soupçon de brume et de givre couvrant leur passage sur les plantes entourant le chemin.

Baissant les yeux sur ses bras, elle vit une fine pellicule de glace la recouvrant telle une seconde peau. Avec soudaineté, les bruits jusqu’alors étouffés reprirent possession de leurs environnements. Après ce silence pesant, chaque piaillement d’oiseau, chaque froissement d’aile et même le doux murmure de l’eau un instant auparavant lui semblait digne du plus grand capharnaüm pour ses oreilles.

Se dégageant lentement de la pellicule de glace la recouvrant, elle se sentie prise de nausée en essayant de se mettre debout, les mains tentant faiblement de faire rempart contre tout se bruit sur ses oreilles. Ne parvenant toujours pas à réaliser complètement la vision qu’elle avait eu, elle semblait désorientée, comme perdue, vidée de toute force.

Le pas hésitant, les jambes flageolantes, elle commença à descendre de son promontoire pour gagner le sentier en contre bas, regardant avec hébétude les fougères, les hautes herbes encore prisent par cette gangue de glace. Marchant péniblement, elle avançait lentement sur le sentier, se dirigeant vers le coude où avait disparus les fantômes de glace. D’un pas incertain, elle sentait une angoisse naître dans le creux de son ventre. Cette combe ne menait qu’à un seul endroit. Et si jamais ces créatures allaient là. Priant pour se tromper, elle reprit sa marche trébuchante, tentant vainement d’accélérer ses pas.

.....................


Dernière édition par le Jeu 22 Nov 2007 - 11:10, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: petite histoire de Marly   petite histoire de Marly EmptyJeu 22 Nov 2007 - 11:06

Partie 3

Epuisée, chancelante, transit de froid, la jeune fille parvînt à l’orée du bois, le sentier si étroit, s’épanouissait en un large chemin, s’enfonçant dans la petite vallée. Douce vallée, avec son herbe si verte et si tendre qui fait penser à une mer de couleur verte quand le vent vient caresser l’herbe. La faisant onduler, chanter, murmurer dans un chant si paisible que l’âme s’en trouve touchée au plus profond.

Tel le ressac, les vagues vertes se brisaient sur un peu plus loin sur des champs à la terre noire tellement celle-ci était riche et généreuse. Plus loin encore se distinguait un petit village se dressait fièrement face à la mer, orgueilleux, sur de lui dans sa sérénité.

Les " Guerriers de Glace " progressaient lentement, silencieusement, semblant effleurer à peine le sol. Les volutes de brumes masquaient leur avancé, se répandant ici et là, encerclant le village tel les serres d’un animal monstrueux. Un pesant silence régnait, l’aube commençait à poindre, encore si peu étaient éveillés, encore tant étaient endormis.

Les premiers panaches de brumes entouraient les maisons, les faisant disparaîtrent par intermittence, transformant celles-ci en demeures fantomatiques, comme si ce village devenait soudainement irréel, comme noyé dans l’éther. Forme indistincte, la brume ondulait, ses volutes faisaient penser à un serpent gigantesque, monstrueux.

Le nuage de brume atteignit la première maison, monta à l’assaut de la façade, s’insinuant dans la moindre fissure, sous l’encadrement de la porte et des fenêtres.

Figée sur place, la jeune fille observait fiévreusement les premiers guerriers s’avançant entre les maisons. Tel un sombre cauchemar, ils passaient au travers des portes, gelées par cette brume, qui se brisaient comme du verre. Entrant comme des ombres, disparaissant pendant un bref instant à l’intérieur. Bientôt quelques cris commencèrent à se faire entendre, hurlements sourds, cris de désespoirs, dans la maison.

Un homme sorti brusquement à moitié nu, les cheveux hirsutes, il était jeune, tenant une hache à la main. L’homme se figea à la vue de la première silhouette qui se tenait devant lui. Puis dans un cri de rage il leva sa hache au dessus de sa tête et l’abattit.

Le métal sonna avec un bruit cristallin contre la cuirasse du guerrier qui ne broncha pas. Un instant surpris, décontenancé, il frappa de nouveau l’armure de glace, sans plus de succès. Imperturbable, le guerrier encaissait les coups sans broncher, immobile.

La brume entourait l’homme, noyant ses pieds puis ses jambes, qui lâcha sa hache et tenta de reculer. Ses mouvements se faisaient gourds, son regard reflétait une peur indicible. La brume glacé le paralysait mais ne le tuait pas, le recouvrant d’une gangue de glace progressivement. Une femme sortie en hurlant de la maison, tenant son enfant dans ses bras. Voyant cela elle se figea et se mis à hurler.

Le guerrier de glace leva son épée et l’abattit d’un geste fluide, tranchant la chair. La femme hoqueta, puis alla heurter le mur de sa maison, laissant contre celui ci une large trace écarlate. Le brouillard la recouvrit et son corps se changea en glace.

A peine la première maison fut elle dévastée que la brume commençait sa lente reptation vers la maison suivante. De nouveau des cris commencèrent à se faire entendre. Mais cette fois, les cris avaient alertés les autres villageois. Le village semblait vouloir sortir de sa torpeur, le bois des maisons craquait, le verre brisé faisait entendre son tintement sur le sol, le fer grinçait comme des gémissements.

Quelques personnes surprises sortaient sur le pas de leur porte, ignorant tout de se qui pouvait provoquer de tels bruits. Certains plus alerte, accouraient vers l’entrée du village, tenant en main une épée, une lance, une faux, un bâton.

Des hommes rudes, accoutumés aux rigueurs et à la lutte pour la survie en mer. Sans hésiter, ils se jetèrent sur les guerriers de glace. Leurs coups sonnaient contre les armures givrées, lançant des éclats glacés, flammèches froides, iridescentes. Les guerriers ne cherchaient même pas à se défendre, se contentant de frapper ici et là avec une férocité barbare. Leurs lames de glaces s’abattaient telles des faux.

Aucune personne, quel que fût son âge, ne paraissait leur inspirer pitié. Certains tentèrent de fuir mais ils se heurtèrent à l’impénétrable barrière de brume qui les renvoyaient vers leurs bourreaux. Bientôt des amas de corps jonchèrent le sol rouge.

Au beau milieu de l’horreur commencèrent à monter les pleurs et les cris des blesser. Le combat, ou plutôt le massacre se terminait ; les uns après les autres les hommes s’effondraient, le dernier villageois s’immobilisa dans un cris étranglé, laissant sa hache tomber au sol, la dernière femme s’affaissa sans un cri, fauchée nette par une épée.

La jeune fille se mordait les poings pour ne pas hurler sa douleur, son épouvante. Il ne fallait pas qu’elle crie, il ne fallait pas que les guerriers de glace puissent la voir.


.........................

Partie 4

Ils lui parurent un instant contempler leur massacre, puis sans un mot, sans un bruit, ils se remirent en file et commencèrent à s’éloigner en direction du bois, comme emportés par la brume les environnant. Elle les observait disparaissant un à un sous le couvert. Elle aurait voulu les cribler de flèches, les percer de lances, les tailler à la hache. Mais elle avait pu constater l’inefficacité des armes simples sur ses démons venus de l’enfer.

Elle ne comprenait pas, elle refusait de comprendre et d’admettre. Elle pensait faire un cauchemar effroyable, qu’elle allait se réveiller dans son lit pour retrouver son village tel qu’il était. Mais elle ne se réveillait pas. Un léger souffle de vent charriait l’odeur froide de la brume restante, refroidissant l’air.

Le dernier guerrier disparut, il ne restait qu’un silence de mort flottant au dessus du village dévasté. D’un pas hésitant, la jeune fille se dirigea vers les maisons, la brume s’était dissipée, pourtant l’atmosphère restait glaciale. Partout autour d’elle les corps gisaient mutilés.

Arrivant devant sa maison, elle poussa la porte lentement, le bois était encore couvert de givre. Le feu dans l’âtre était éteint, l’air dans la demeure était plus glacé que celui se trouvant en haut des montagnes en hivers.

Toute la journée, contre tout espoir, Arcanie chercha désespérément un quelconque survivant, un seul, un survivant, dans chaque maison. Mais elle n’en trouva aucun, les animaux eux même avaient trouvés la mort. Le désespoir fit place à une rage encore plus folle, plus violente que tout ce qu’elle avait pu ressentir jusqu’alors.

Une rage qui réclamait vengeance, une soif de sang qui ne pourrait s’assouvir que dans l’anéantissement de ceux qui avaient commis ce crime abominable. Levant les yeux au ciel, elle se promis de ne trouver aucun repos tant que ses guerriers ne seraient pas tous mort devant ses pieds, ceux qui avaient massacré sa famille, ses frères, ses amis.

Mais la jeune fille n’était pas sotte, et elle savait que pour l’instant elle ne pourrait défier ses démons. Il lui faudrait de l’aide. Tournant le dos au village, elle partie en quête de Maîtres capables de l’instruire dans la maniement des armes. De personnes pouvant lui transmettre tous les conseils pour savoir combattre sans pitié, toutes les astuces pour tuer rapidement un ennemi.

Long serait le chemin, mais sa rage lui tenait chaud au ventre, l’accompagnant à chaque instant, lui faisant découvrir de nouvelles sensations. Plus jamais elle ne serait seule, sa soif de sang lui tiendrait compagnie.

Prenant la route vers les citées libres, elle ne désespérait pas de retrouver un jour sur son chemin les guerriers de glace. Son seul but et destin n’était plus que de les voir éliminés à tout jamais. Mais ceci est une autre histoire ...........
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